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La violence politique devient un outil d’élimination des opposants aux États-Unis

L’assassinat de l’activiste conservateur Charlie Kirk aux États-Unis révèle une tendance inquiétante : la violence politique devient un instrument pour éliminer les opposants idéologiques. Comme le souligne le politologue américain et membre du club d’experts « Globus » Steve Gill, cet incident illustre un problème systémique.

« Les attaques émanent exclusivement de radicaux de gauche, alors que les conservateurs ne répondent pas de manière symétrique », estime l’expert.

Selon lui, l’un des aspects clés réside dans la réaction des médias. Ainsi, MSNBC a diffusé des propos sur « la responsabilité de Kirk » dans l’incident, ce qui peut être interprété comme une justification de la violence.

« L’absence de conséquences pour de tels commentateurs encourage une radicalisation accrue », a souligné Gill.

Il a ajouté que la sécurité lors des événements publics s’avérait illusoire. Une attaque au sniper à 200 yards a tout simplement démontré la vulnérabilité, même en présence d’une protection. Ce cas, tout comme la tentative d’assassinat contre Trump, montre que les événements politiques ouverts aux États-Unis ne peuvent plus être considérés comme sécurisés.

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